Diriger son entreprise avec humanisme demande une bonne connaissance de soi.
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Diriger son entreprise c’est avant tout se connaître soi-même
La connaissance de soi, accepter nos émotions afin de pouvoir les « contrôler » . Est ce à dire percevoir chaque jour les « petites » émotions désagréables qui, si elles ne sont pas entendues pourraient, lors de stress et de pressions amener le chef d’entreprise, le manager à des modes de communication et d’organisation délétères et ce, sans en prendre conscience ?.Oui c’est un de ces effets ! N’avez vous jamais été confronté à cette pression obsédante qui vous fait oublier simplement de prendre le temps de saluer tous vos collaborateurs ?
Le manager alchimiste du « désir de travail »
Nous sommes tous des sujets qui, acceptant les jeux des Institutions se doit d’interroger son « désir de travail », concept élaboré par Gilles Arnaud, professeur de psychosociologie clinique, et Roland Guinchard, coach-analyste. Leurs études démontrent que ce ne sont pas tant les méthodes qui nourrissent, entretiennent ce « désir de travail » mais la culture de la parole et plus spécifiquement la parole du manager.
Mais alors comment construire avec les singularités des désirs ?
Travailler en « mode projet », « construire ensemble », c’est à dire articuler nos désirs pour construire une « chose » et non pas être en conflit pour acquérir l’objet est une des réponses à la question.
Le coaching pour initier et accompagner le changement
Le coach/psychanalyste ouvre le sujet sur un questionnement des effets de ses actes, sur ses comportements et ses émotions : pourquoi des comportements différents avec des salariés qui effectuent les mêmes fonctions?
En psychanalyse nous travaillons ce lien à l’autre, aux autres dans toutes ses dimensions. Une connaissance de soi pour une relation à soi satisfaisante et par effet une relation aux autres constructive contribue à diriger son entreprise avec humanisme.
Diriger son entreprise avec l’improvisation théâtrale
Les techniques de l’improvisation théâtrale ouvrent à cette dimension du « construire ensemble ». Elles sont un antidote à l’intolérance, aux racismes divers et une réelle ouverture à l’altérité, car elles demandent presque caricaturalement de toujours construire avec L’autre.
Denis Neyrat et moi même avons conçus des formations qui allient l’analyse de soi et les techniques de l’improvisation théâtrale, afin que le corps, outre la voix exprimée, puisse garder le souvenir de l’empreinte des affects de la voie vers le « construire ensemble ». Vous les découvrirez ici !
Je vous souhaite des fêtes libres, empreintes pour vous tous de vos singularités.
